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S’organiser, résister, vaincre

 

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Communiqué — Dépliant (PDF)

• Horaire détaillé

• Clips videos sur l’université d’été des NCS

• Partenaires et supporteurs

 

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Soirée d’ouverture

De la lutte étudiante à la lutte citoyenne : pouvons-nous encore faire une société ?

 

Le jeudi 16 août 2012 à 19h à l’UQAM

Avec : Gabriel Nadeau-Dubois (CLASSE), Francisco Figueroa (Fédération étudiante du Chili),  Christian Laval (Université de Paris X Nanterre) et plusieurs autres 

 

[jbox color=”platinum”  content_css=”text-align:center;font: 1.5em/1 bold sans-serif;”]ENTRÉE LIBRE[/jbox]

Présentation

Les impacts du « nouveau » capitalisme

Depuis quelques décennies, le capitalisme se réorganise (ce qu’on appelle le néolibéralisme). Les dominants veulent consolider les structures patriarcales en subordonnant les femmes. Ils veulent « rétablir l’ordre » dans le monde du travail en précarisant surtout les jeunes et en volant les pensions aux autres. Ils veulent privatiser l’espace public et politique au profit de réseaux opaques en réduisant les services publics à des faire-valoir pour les entreprises. Ils veulent dans la bonne vieille tradition de « diviser pour régner » renforcer les barrières raciales et nationales contre les groupes subalternes. Ce néoconservatisme est un assaut non seulement contre les acquis des dernières décennies, mais aussi contre tout ce que notre monde contient de valeurs de solidarité, d’égalité, de justice sociale.

Gestion de crise

Mais ce projet se heurte à de nombreux obstacles. D’abord les dominants ne contrôlent plus le « monstre » qu’ils ont eux-mêmes créé. Le capitalisme devient un « chien fou » qui navigue de « bulles spéculatives » en crises à répétition. Devant les turbulences et les résistances, le pouvoir devient menaçant : plus de lois « matraques », plus d’emprisonnements, plus de « règlements » injustifiés et injustifiables, plus de militarisme. Pour faire accepter l’inacceptable, les dominants essaient d’inculquer une « philosophie » individualiste et agressive de « tout-le-monde-contre-tout-le-monde ». Avec des médias complaisants, on dit à Monsieur-et-madame tout-le-monde : « vous êtes menacés. C’est la faute des féministes, des écologistes, des grévistes et des musulmans pas celle du capitalisme et du patriarcat ».

Ils sont 1%, nous sommes 99%

Mais heureusement et de plus en plus, les pouvoirs sont discrédités. Une conscience populaire impalpable se répand : nous sommes l’immense majorité et on en a marre ! Malgré la peur et l’incertitude, des citoyens et des citoyennes disent non. C’est une résistance à la fois puissante et fragile, elle vient des mouvements sociaux, des initiatives citoyennes plus ou moins spontanées. Elle cherche, met de gros grains de sable dans l’engrenage et parfois elle gagne ! En même temps, des questions émergent : que faire ?  Faut-il aller plus loin ? Comment ? Avec qui ? Comment renverser le rapport de force avec les dominants ?

Une hypothèse : vaincre

Certes, les obstacles érigés par les dominants sont gigantesques. Il y a aussi les barrières qui existent au sein des mouvements populaires et qui souvent reproduisent les hiérarchies contre les femmes, les immigrantEs, les jeunes. Changer tout cela prend du temps, mais hélas les urgences sociales, politiques, environnementales s’aggravent. Comment réconcilier tout cela ? D’ici peu, notre société pourrait se retrouver devant un solide bloc de droite bien installé à la tête des gouvernements québécois et canadiens. Peut-on les empêcher de tout saccager ? Quelles sont nos alternatives ? Comment coaliser les forces progressistes ? Comment s’organiser et surtout, comment vaincre

Créer des outils

Ces questions sont un peu le point de départ de l’université populaire des NCS. Comme les réponses ne sont pas inscrites dans un « grand livre » quelconque, il faut chercher, ce qui veut dire de partir des connaissances qui émergent des pratiques populaires qui émergent dans les luttes et résistances. En partant de ces luttes, on peut déchiffrer quelques « clés » que nous ont léguées nos « ancêtres », bref réconcilier les théories de l’émancipation avec les espérances et les capacités du mouvement populaire d’aujourd’hui.  Le rendez-vous est donné aux citoyen-NEs engagées, indignéEs, militantEs, travailleurs et travailleuses, intellectuelLEs de l’école et de la rue, bref, tous ceux et celles qui veulent sortir des sentiers battus.


Horaire

  • La soirée d’ouverture aura lieu au pavillon Hubert-Aquin (amphithéâtre AM-050), 400 Sainte-Catherine est. 
  • Les ateliers et plénières se tiendront au pavillon De Sèves, 320 Sainte-Catherine est.

Jeudi 16

Vendredi 17

Samedi 18

RENCONTRES

AVEC LES MÉDIAS

 (tout au long de la journée)

8 h à 9 h (1 h)

INSCRIPTION ET CAFÉ

8 h à 9 h (1 h)

INSCRIPTION ET CAFÉ

 9 h – 10 h 30 (1 h 30)

PLÉNIÈRE

LA DETTE ODIEUSE 

9 h – 9 h 45 (45 m)

SESSION SPÉCIALE

LES PREMIÈRES NATIONS

9 h 45 – 10 h (15 m)

PAUSE

10 h 30 – 10 h 45 (15 m)

PAUSE

10 h – 11 h 45 (1 h 45)

PLÉNIÈRE

  FÉMINISME ET MOUVEMENT SOCIAL

10 h 45 – 12 h 45 (2 h)

SESSION 1

13 ATELIERS AU CHOIX *

11 h 45 -12 h 45 (1 h)

PAUSE REPAS

12 h 45 -13 h 45 (1 h)

PAUSE REPAS

12 h 45 – 14 h 30 (1 h 45)

SESSION 3

13 ATELIERS AU CHOIX *

13 h 45 – 15 h 15 (1 h 30)

SESSION 2 

13 ATELIERS AU CHOIX *

 14 h 30 – 14 h 45 (15 m)

PAUSE

 14 h 45 – 16 h 30 (1 h 45)

PLÉNIÈRE

VAINCRE LA DROITE

 

15 h 15 – 15 h 30 (15 m)

PAUSE

15 h 30 – 17 h 15 (1 h 45) 

2 PLÉNIÈRES AU CHOIX

1 – DU PROLÉTARIAT AU PRÉCARIAT

2 – L’APPEL DES PATRIOTES

16 h 30 -16 h 45 (15 m)

MOT DE LA FIN

 

17 h 15 – 19 h 15 (2 h)

 

ÉVÉNEMENT FESTIF

 18 h 45 -19 h (15 m)

MOT DE BIENVENU

19 h – 21 h (2 h)

SOIRÉE D’OUVERTURE

De la lutte étu­diante à la lutte ci­toyenne : pouvons-nous en­core faire une société ?

19 h 15 – 21 h 15 (2 h)

PLÉNIÈRE

LES DÉFIS DU MOUVEMENT SYNDICAL

21 h – 22 h 30 (1 h 30)

 ÉVÉNEMENT FESTIF

 


* Répartition des ateliers par session

Numéro
d’atelier 

SESSION 1
VENDREDI 17
10H45 – 12H45

SESSION 2
VENDREDI 17
13H45 – 15h15

SESSION 3
SAMEDI 18
12H45 – 14H30

1

Crise de l’éducation, crise sociale et politique

Ruptures et continuités du PQ

Retour sur les luttes populaires au Québec: la révolution pas-si-tranquille

2

L’automne sera chaud, la lutte continue

Hypothèses de Marx

Le laboratoire latino-américain

3

Contours de la crise

Les objectifs des politiques anti- immigrants

L’autonomie du mouvement communautaire

4

Les dessous du plan nord

Que retenir des luttes de libération nationale ?

Le projet écosocialiste

5

Précariat et femmes

La marchandisation des femmes

Précariat et enseignement

6

L’économie sociale, outil d’émancipation ou mécanisme pour gérer la pauvreté

Luttes populaires et reconfiguration de la gauche en Europe

Résister à Montréal Nord

7

Précariat et immigration

Bilan et perspectives des résistances au libre-échange

La santé malade du capitalisme

8

Stratégies et défaillances de la droite au Canada et au Québec

Crises et classes sociales

L’impérialisme canadien dans tous ses états

9

Pachamama (après Rio+20)

Retour sur les indignés

Pour des retraites décentes : luttes et perspectives syndicales

10

Où en sont les luttes autochtones ?

Le printemps arabe n’est pas une saison !

Précariat et santé

11

Luttes populaires en Chine

Souveraineté alimentaire

La vraie nature du capitalisme vert

12

Le Canada en Haïti, maillon du dispositif impérialiste

Laïcité, identité, inclusion

Le NPD et la lutte contre Harper

13

S’emparer du pouvoir ?

 Le mouvement étudiant, d’hier à aujourd’hui

Les perspectives de la lutte contre les gaz de schistes


Inscription

Deux formules sont disponibles

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* Vous recevrez par courriel une confirmation de la transaction, ainsi qu’une facture imprimable. Le débit apparaîtra sur votre relevé de carte de crédit sous l’intitulé PAYPAL *CAP-NCS. Pour tout problème ou litige, adressez un courriel à : tresorerie@cahiersdusocialisme.org


Inscription postale

Vous pouvez aussi vous inscrire par la poste en remplissant le formulaire d’inscription à télécharger ci-joint et en le retournant  accompagné de votre règlement à l’adresse indiquée.

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