La thèse essentielle que ce chapitre cherche à développer pourrait être résumée ainsi : la finance est « l’arbre qui cache la forêt ». Elle n’est pas un obstacle à un fonctionnement « normal » du capital, mais l’instrument de son retour à un fonctionnement « pur », débarrassé de toute une série de règles et de contraintes qui avaient été imposées à ce système au fil de décennies.
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